L’Oréal, start-up de 15 chercheurs à San Francisco via L’Usine Nouvelle

24 janvier 2016

Par Emmanuelle Delsol – Publié le | L’Usine Nouvelle n°3447
 

Le California research center est un centre de R & D qui permet au géant de la cosmétique de se frotter aux méthodes de la Silicon Valley.

C’est dans Dogpatch, le nouveau quartier en vogue de San Francisco (États-Unis), que L’Oréal a niché ses chercheurs californiens. Ils occupent une partie du premier étage de l’open space du QB3, un petit immeuble aux airs modestes qui abrite la crème de la recherche. Le California research center (CRC) du géant mondial de la cosmétique est ici une start-up parmi d’autres. Un étage plus bas, les laboratoires proprement dits ressemblent à n’importe quel labo de chimie ou de physique. Les résidents partagent les installations et les équipements. Le QB3 est un espace de ­co-innovation où start-up et entreprises traditionnelles goûtent la substantifique moelle de la Silicon Valley. Avec les avantages de la région auxquels s’ajoute la proximité des universités de San Francisco, Stanford et Berkeley.

L’Oréal engage ici une nouvelle méthode d’innovation qui mise sur l’autonomie des individus et la puissance d’un collectif ouvert.

L’équipe est limitée à une quinzaine de chercheurs. Rien que des profils de très haut niveau dans des disciplines aussi variées que la réalité augmentée, l’optique, les matériaux, le jeu, la biologie des cellules souches. « C’est leur force, mais c’est aussi très difficile à manager, plaisante[…]


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